samedi 28 avril 2012

Il en fallait au moins un. Hélas, c'est lui.

L'autre jour, mon oncle et moi on est enfin (hélas, surtout) tombés en désaccord sur un sujet. Mon oncle, dans la vie, je l'adore. On est très complices, on a beaucoup de passions en commun (photo, musique entre autres). En général, dans les sujets "normaux", on tombe toujours d'accord.

Dans le climat actuel, je crois que je parle de politique à chaque personne que je croise. Je dis haut et fort pour qui j'ai voté et, en face, on me répond aussi. Souvent, on est d'accord. Parfois un peu moins mais bon, par exemple, j'arrive à envisager qu'on vote centriste.
Ce que je ne comprends pas et que je n'arriverai jamais à comprendre (pourtant, j'suis open sur plein de sujets dont la politique) c'est que quelqu'un vote Front National. Je pense honnêtement qu'à part si on est raciste (et ça, j'pige pas), on n'a aucune raison de voter pour l'autre guignole. Sauf que mon oncle, il l'a fait. J'ai dû lui demander au moins 5-6 fois si c'était vraiment vrai. Tu blagues ? Mais pourquoi t'as fait ça ? Mais t'es facho ? Non qu'il me dit. Non qu'il est pas raciste. Non qu'il blague pas. Oui qu'il veut du changement. Non que NS ne lui plaît pas. Oui qu'il a toujours voté Parti Socialiste. Je lui dis Mais tu sais, voter MLP, c'est cautionner ses idées de facho. Non qu'il me dit. Si que je lui réponds. Parce que celle là, elle est pire que son père. Voter pour elle, c'était cautionner son programme raciste, son programme qui file la gerbe.



Tu vois, j'me disais qu'avec ces foutus 17.9% (de tête), il y avait forcément au moins une personne de mon entourage qui avait voté Front National. J'avais un doute sur une personne. Doute qui ne s'est pas encore confirmé. Je sais qu'on ne parlera pas politique donc je ne le saurai probablement jamais. Ben oui, tu comprends, il s'est déjà fait agressé par des Arabes. Sauf que ce qu'il pige pas, c'est que nous les Français nés en France de parents eux aussi nés en France, on est aussi hyper balaises pour agresser les gens aussi. Et bizarrement, à l'approche des élections, on en parle beaucoup moins.
Je suis tellement déçue. Mais déçue. Mon oncle est tellement quelqu'un d'ouvert, quelqu'un pour qui j'avais de l'admiration... Je n'aurai jamais pensé qu'il voterait Extrême Droite. Quand je suis partie de chez lui, l'autre jour, je me suis dit que ça en était fini. Non, évidemment, pas au point de ne plus aller le voir. Mais mon oncle, peut-être que je l'ai trop idéalisé. Peut-être que... J'en sais rien. Je n'arrive pas à m'enlever cette déception de la tête. Finalement, je n'aurai peut-être pas dû parler politique. Ou alors c'est lui qui en a parlé et j'ai continué à parler. J'ai dit que moi j'avais voté pour que ça bouge, pour que ça change. Sauf que moi, je suis diamétralement opposée à lui.
Alors, j'ai des ami-e-s proches et de la famille qui ont voté NS en 2007 et encore cette année. Je crois que, mis à part avec ma famille, on s'est mis d'accord sans vraiment le dire de ne pas parler politique entre nous. Je tiens plus à mes amis qu'à la politique.
Mais là. Le Front National bordel ! Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Encore un qui a été blasé par le mandat de NS. Un qui n'a pas été convaincu par la campagne dans son ensemble et donc, en partie, par celle de FH.

Pourquoi on en est arrivés là ? Pourquoi on en est arrivés à une campagne présidentielle où les candidats préfèrent se tirer dans les pattes plutôt que d'exposer leurs idées, de nous montrer en quoi elles pourraient être bénéfique pour nous, les petits Français Smicards ?



Bordel !
Je m'étais dit que je ne parlerai pas politique sur le blog. Je m'étais dit que d'autres le faisaient beaucoup mieux que moi. Surtout, aussi, je ne suis pas assez calée pour en parler. Mais là, c'est personnel. Ce vote m'atteint, me déçoit tellement. C'est un parmi ces millions. Et dans ces millions, il y en a que toi aussi tu connais. Toi aussi tu as peut-être été déçu-e ?
Je m'en remets pas. Vraiment.




mercredi 25 avril 2012

On vieillit.

L'autre jour, mon petit frère et moi on a fait La Tournée Des Grands Parents. Je ne sais pas quel rapport tu as, toi, avec ta famille et en particulier tes grands parents mais mes frères et moi on n'est pas du genre à aller leur rendre visite hyper régulièrement. Que ce soit du côté de ma maman ou celui de mon papa. C'est comme ça. La semaine, je travaille. Le week-end, j'essaie de concilier mes big sorties du samedi, la gueule de bois et aller voir mes parents. Bon, c'est pas tous les week-end pareil, évidemment. Des fois, j'ai pas la gueule de bois. Ou plutôt, des fois, j'ai pas la force d'aller voir mes parents.
Bref.



Je ne sais pas ce qu'il s'est passé du côté de mes grands parents mais punaise, ils ont plus que changé. Enfin, si, je sais. La vieillesse. La maladie.
Avant, avec mon papy on n'arrêtait pas de se taquiner. Il m'embêtait tout le temps et j'aimais bien ça. Maintenant, quand je vais chez mon papy et ma mamie, lui il regarde la télé et ferme la porte parce qu'on parle trop fort.
Avant, avec ma mamie, on faisait plein d'activités. On bougeait pas mal. Elle rigolait tout le temps. Maintenant, elle peut pas aller de la salle à manger à la cuisine sans être hyper essoufflée.
Mon autre mamie, quant à elle, est une Tamalou. Un peu comme Papillote mais en personne âgée. L'autre jour, elle nous a dit qu'elle avait mal aux jambes, à la main, aux côtes, aux yeux.



J'ai pas peur de vieillir. Mon dernier gros cap s'est plutôt bien passé grâce à tous mes proches.
Juste que là, ça me fait peur pour eux.
J'ai dit à mes parents que j'espérais qu'ils ne vieilliraient pas de la même façon. J'espère que mes nièces chéries auront toujours des grands parents souriants, proches etc.

Mes grands parents, je les aime, évidemment. Et heureusement. Mais je ne comprends pas ce qu'il a pu se passer en si peu de temps. Je comprends la vieillesse et la maladie bien sûr. Je comprends tellement que ça me fait peur. Ils sont tous les trois malades. Il y a tellement de bonheurs qui arrivent autour de moi (mariages, grossesses, naissances) que j'appréhende le malheur.
Je regrette que les fois où je vais les voir, je trouve toujours quelque chose à leur reprocher : l'absence de mon papy, le côté Tamalou de ma mamie et le côté passif de mon autre mamie.


Il faudrait juste que je me mette en tête que si moi j'ai grandi, vieilli. Eux aussi. Sauf que la différence n'est pas la même.

samedi 21 avril 2012

Kiss me.

L'autre jour, mon côté fille et moi on regardait un épisode de Friends. Il commence par une conversation entre les garçons et les filles. Les uns disent que embrasser la fille est le truc inutile et chiant qu'ils doivent se coltiner avant de la mettre dans leur lit. Les autres, elles disent qu'embrasser un garçon te donne un peu un aperçu de ce que tu vas découvrir ensuite et que c'est quelque chose de nécessaire avant d'espérer une seule seconde pouvoir conclure.

Ça m'a un peu fait cogiter en fait.
Dans mon grand nombre d'expériences de roulage de pelle / de salade de langue / de roulage de galoches / de baisers (choisis la mention qui te convient le mieux), j'ai cru remarquer qu'il y avait deux écoles concernant la façon dont les hommes embrassent : 1°) Ceux qui caressent délicatement la langue ; 2°) Ceux qui tournent activement la langue dans le sens des aiguilles d'une montre (important -_-" ).
Moi, je croyais que la 2, c'était pour quand on débutait. Qu'on passait à autre chose qu'un petit piou volé entre deux salles de cours. Mais non, y en a qui en sont restés là.
Bon, après, évidemment, je suis loin d'avoir la science infuse du baiser. Mais personnellement, j'ai du mal à trouver un baiser agréable quand le garçon mouline sa langue contre la mienne. En général, je coupe court au truc.
L'autre soir, on était entre copains et copines. Y avait un type avec qui je suis sorti qui était là. Il se trouve qu'il a déjà embrassé deux autres personnes qui étaient aussi à cette soirée (non, malgré les apparences, on n'est pas des copains et copines échangistes). Et les deux autres disaient qu'il embrassait super bien bla bla bla... J'ai pas vraiment compris. Et du coup, j'ai débattu sur ce qui, pour moi, correspondait à un bon baiser.

Alors, du coup, j'me demandais en fait si c'est moi qui embrassait n'importe comment ou pas. Je pense pas. Regarde, Le Paon, la semaine dernière, il embrassait comme moi. Au moins, t'es pas obligé de te concentrer et tout, ça se fait doucement, tendrement, délicatement, sensuellement.

Et toi ?
T'en dis quoi ?



Bon, allez, ce soir, je suis sérieuse.
Si, si !

mercredi 18 avril 2012

Il savait faire la roue.

L'autre jour, mon cœur et moi, on a rencontré un type (Le Paon) en soirée. D'ailleurs, à cette soirée, j'ai fait bobo à mon foie.

J'y croyais pas hein.
Honnêtement, c'était une rencontre perdue d'avance. Et je le savais.
Déjà parce que j'étais pas en état pour faire une rencontre sérieuse. Et aussi parce que je me doutais que lui, il n'était pas en Mode Relation Sérieuse. Pourtant, il avait le comportement idéal le lendemain. On n'avait pas forcément abouti la rencontre (manière plus au moins délicate de parler de sexe) donc, pour moi, y avait deux possibilités : 1°) Le lendemain, au réveil, il allait grave tenter de conclure ; 2°) Le lendemain, au réveil, il allait fuir. Ben, en fait, ce fut plutôt 3°) Il a été très proche. C'est moi qui ai été plutôt naze et qui lui ai balancé un "Lâche-moi !". Je HAIS le matin. Et d'autant plus quand je suis moitié pas bien. Après, j'ai été cool et j'me suis excusée de lui avoir mal parlé.
Finalement, le monsieur m'a payé des Coca, du café. On a discuté. Il m'a dit des choses gentilles, vraiment. Il m'a demandé mon numéro. Il m'a dit qu'il voulait vraiment qu'on se revoit. J'étais surprise mais bon, j'me suis dit Pourquoi pas après tout.
J'rentre chez moi. Je le textotte. Il me répond direct. Ça, c'était dimanche.

Là, on est mercredi.
Je n'ai pas eu de nouvelles.
J'ai ma fierté, certes. Mais, j'aime bien savoir les choses. La balance du pouvoir, en théorie, oui. Mais en pratique, je ne l'applique pas. Et, je ne suis pas sûre que commencer une relation par savoir "qui est qui" soit "sain" (vas-y, paye tes guillemets). Mais chacun son opinion ;-)
Donc. Je lui envoie un message. Je prends des petites nouvelles banales. Et je lui demande directement si on va se revoir.
Et là, vois la réponse toute pourrie. Il dit que pour lui ça va être compliqué en ce moment, qu'il peut pas trop se déplacer (c'est la vérité) donc, il sait pas trop. Et il finit le tout par un "Bye!". Putain de merde, Pov' Type j'ai envie de dire !! J'lui réponds "Tant pis. Mouais." et j'lui fais comprendre que moi, je peux bouger. En gros, t'es pas tout seul bordel !

Alors, en fait, Le Paon, il s'est fait chier le dimanche matin à me faire la roue en me disant qu'il voulait passer plus de temps avec moi, qu'il voulait retarder le moment où on devait se séparer, qu'il prenait mon numéro pour qu'on se revoit, qu'il était content que je me rapproche de lui, que je lui plaisais bla, bla, bla... Fuck You !



En soi, vraiment, je m'en doutais. Si j'y avais cru, je n'aurais certainement pas attendu le mercredi pour savoir ce qu'il en était. Je voulais juste une confirmation je crois.
Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi il s'est donné tant de mal le lendemain matin à me complimenter etc. Surtout que j'ai eu une mini-vague où j'étais pas cool envers lui dans mes gestes et mes paroles. Il aurait pu s'en tenir à ça. Ça aurait été plus simple pour lui de couper court à la rencontre.
Je ne ressentais rien pour lui mais cette fausse-rencontre blesse un peu mon ego et mon coeur. Parce que là, j'me dis qu'un type qui avait l'air bien était finalement un gros bâtard.
En conclusion, je ne sais pas du tout quand je vais pouvoir faire confiance à un homme.



Un bonus. Parce qu'on a tous été dans cette situation du SMS de malade.



Et puis je trouve ça drôle.

dimanche 15 avril 2012

Aïe.

J'ai froid.
J'ai mal partout.
Je suis fatiguée.
J'ai envie de rien.
J'ai passé ma journée en pyjama.
J'ai envie de boire 5l de coca.
J'ai plus de Coca chez moi.
J'ai envie d'un McDo.
J'ai pu un euro de ce que j'ai retiré la veille.
Je me découvre un bobo.
Je sens que je vais pas tarder à aller me recoucher.
Je suis un déchet ambulant.
Je fouille les tréfonds de ma mémoire.
Je regarde les SMS envoyés dans la nuit.
Je bâille encore et encore.
Je voue un véritable culte à mon lit.

Pas de doute, nous sommes bien en lendemain de cuite.

Paye ta vie de débauche.

Mon foie et moi, on reste quand même des wariors !




Et toi ? Ton week-end ?

samedi 14 avril 2012

Vous reprendriez bien un verre de vin rouge ?

L’autre jour, mes hormones et moi, on a vu un type (Le Coq) pas mal. Physiquement hein.
J’fais partie de ces gens qui, oui, s’arrêtent au physique. Alors que j’aime pas qu’on le fasse pour moi parce que j’ai pas un physique facile. Va comprendre… Nan, mais, en vrai, hélas (pour certains) (ou tant mieux pour d’autres), c’est quand même la première chose qu’on voit chez les gens…
Ce gars, donc, j’suis amenée à le revoir. Ca fait d’ailleurs plusieurs mois que je le vois plus ou moins régulièrement. J’ai dit à mon entourage que je le trouvais bien. En ça, je suis un peu comme les hommes : la personne me plaît, j’dis direct un truc du genre « Tiens, regarde celui-là, pas mal hein ? ». Bon, y a pas d’équivalent à « Tiens, mate-la elle, elle est bonne ! » mais je t’assure que c’est un peu le fond de ma pensée, mais au masculin. Le truc c’est que Le Coq l’a su. On va passer sur le fait que mon entourage est composé d’au moins une langue de vipère. Le problème est déjà réglé. Juste que donc, j’ai appris qu’il était en couple. Il a le droit après tout (bitch) (garce). La question fondamentale que je me posais à ce moment là c’était : comment je suis sensée réagir ? Après tout, j’ai le droit de le trouver pas mal quand même ! Tu vois, c’était juste physique. J’l’ai vu, j’me suis dit qu’il était pas mal. J’en profitais pour me rincer l’œil. Après tout, j’ai personne chez moi à part ma féline. Sauf que, le fait qu’il l’ait su, ça a amplifié la chose. Parce que moi, du coup, quand je le croisais, je faisais mon autiste : les yeux qui fixent le sol, limite la bave qui coule et… non… ouais… quand même pas le balancement du corps d’avant en arrière ponctué de bruits assez étranges. Donc, non, j’ai ma dignité quand même. Faut quand même savoir, que je lui avais jamais parlé à ce type. C’est là que je me rends compte que je suis assez superficielle comme nana en fait!

Puis, finalement, on a échangé trois phrases… … Tu sais quoi ? Eh ben, déception ! Je croyais qu’il avait une voix plus virile que ça !! Bon, il reste quand même attirant bien sûr. Ca m’a fait penser à Petites Dents. Je l’avais rencontré sur Adopte Un Mec. On s’entendait vraiment bien (trop bien du coup) donc on s’est rencontrés. Deux déceptions : 1°) Il avait des très petites dents (arrête de sourire) ; 2°) Il avait pas vraiment une voix virile. Trois déceptions en fait. 3°) Il m’a pas payé mon verre (radin). Par voix non virile, ça veut pas dire que Le Coq et Petites Dents n’avaient pas mué. Si, si, de ce côté-là, la puberté était OK. Mais, j’sais pas, c’est l’impression que ça me donne… En même temps, je déteste entendre ma voix. J’peux bien parler (c’est l’cas de le dire) (mouhahaha) (tagada tsouin tsouin) tiens !

Au final, ce qui me fait un peu sourire c’est que Le Coq, sachant que je bavais un peu (beaucoup ?) sur lui, il fanfaronnait un peu tu vois. J’l’ai bien « senti » (non, pas ça, coquin). Genre le mec, il sait qu’il plaît donc il est sûr de lui. Il m’appelle par mon prénom (alors que moi j’étais à peine sûre du sien) (j’allais pas l’appeler Le Coq) et tout. J’suis un peu fière de moi parce que j’ai pas rougi (enfin, je crois pas). Et je l’ai regardé quand il me parlait.



Pourquoi je disais ça déjà ? Ah non pour rien. Pour t’introduire dans ma vie je crois. Tu vois, ma vie, elle est comme ça. A l’arrache. Peuplée de garçons. Des fois je conclus, des fois non. Souvent non. Mais trop souvent oui aussi quand même. Oh bien sûr, je vais pas te parler que de garçons. Heureusement pour toi. Mais les garçons font partie intégrante de ma vie (y a la musique et les vernis à ongles aussi) (et bon, ouais, les copains et copines quand même) (que quand ils sont mignons) (et donc, les soirées souvent alcoolisées : ça c’est pour l’Emmerdante de service) parce que c’est comme ça. Tant que je n’aurai pas trouvé un garçon sérieux, je vais continuer à avoir des papillons dans le ventre (et autre part) plutôt que de me morfondre dans ma vie de Fille à Chat (sous-entend : future vieille fille).

Ma vie, les trois quarts du temps, je l’aime bien. J’suis pas du tout la fille qui se plaint. Quand je le fais c’est que vraiment, ça va pas du tout. J’suis toujours souriante. J’ai toujours quelque chose à raconter. On s’ennuie pas avec moi. Mais, des fois, j’suis sérieuse aussi (j’écoute France Inter en me réveillant, c’est dire) (mais, dans la voiture, j’écoute des fois Allan Théo ou encore Hanson. Et aussi Metallica.). Je suis trèèès à l’écoute. Je me réjouis du bonheur des gens, mais parfois j’en suis jalouse aussi. Je crois que c’est normal non ?

Sinon, dans la vie, j’aime bien le rouge mais finalement, j’aimerais décorer mon appart’ avec des meubles blancs. J’aime bien les étoiles aussi. Et les têtes de mort.

Bienvenue dans un monde banal en fait. Peut-être qu’on s’est connu-e-s dans une autre vie de la blogosphère, peut-être pas. Si c’est le cas, tu as déjà une idée de mes frasques. Si non, cet article devrait te donner un aperçu (noooon, ne pars pas).

Sur ce, à bientôt j’espère.



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Remerciements :
C'est classe, j'me la pète un peu à faire mes remerciements dès l'ouverture du blog.
Un grand Merci à French Kid pour me permettre d'utiliser Poppy Rawson (un personnage d'une de ses chansons) en pseudo pour ce modeste et énième blog nombriliste de la toile. De plus, le titre de ce blog est issu de cette même chanson.
Un grand Merci à mon Amie 2.0 pour la quête de ce pseudo. Alors que j'en cherchais un qui me corresponde, elle m'a sorti Poppy Rawson. Après plusieurs écoutes de la chanson, plusieurs lectures du texte, je ne sais pas pourquoi mais j'ai senti que ce pseudo était pour moi. Pourtant, je n'ai pas les yeux bleus comme l'océan. Je n'ai pas shooté une douzaine de personnes. Je ne suis pas allée à L.A ou à Boston. Je suis juste, comme Poppy Rawson, une no bimbo blonde qui, parfois, boit du red wine.
Et un dernier Merci à toi qui souhaite continuer à me suivre dans mes pérégrinations. Je ne te promets rien de meilleur. Juste un léger changement (je l'espère).
Et ici, tu peux voir la galerie de photo du monsieur qui a fait celle de mon avatar. So sex !